Originaire de la région Parisienne, Rebecca Armstrong a grandi à Val-de-Reuil et vit maintenant à Rouen.
Mes enfants sont nés ici, mon mari est un Normand : j'ai un véritable attachement au territoire.
Qui suis-je ?
Je m’appelle Rebecca Armstrong ; je suis mariée, j’ai deux enfants. Je n’ai pas un profil des métiers de la culture, mon terreau professionnel, celui où je me suis épanouie depuis la fin de mes études, c’est le développement de projets de territoire, en lien avec les enjeux environnementaux et écologiques. J’ai travaillé pendant 15 ans dans des collectivités pour développer, aux côtés d’élus locaux des projets de territoire, auxquels les associations et les habitants pouvaient participer et trouver du sens.
Je suis déléguée générale de la candidature Rouen Seine Normande 2028, depuis l’année dernière, en 2022, à la fin de l’hiver.
C’est assez intéressant d’ailleurs : souvent, les personnes qui ont ces fonctions de délégué général, quel que soit le titre que l’on met sur cette fonction, sont plutôt des gens qui ont travaillé dans des musées, des institutions culturelles ou des ministères. Mon profil est donc plutôt original !
J’ai pas mal de passions : j’aime de plus en plus lire de la poésie – je joue au tennis quand j’arrive à avoir encore un peu de temps ! C’est vraiment mon truc. J’écoute beaucoup de musique, et un peu tous les genres : cela va du rock alternatif au rap en passant par des artistes variés, au fil des découvertes. C’est très éclectique mais c’est vrai que la musique a beaucoup de place dans ma vie. La joie et le sourire me définissent aussi vraiment : je suis vraiment portée par une joie profonde et c’est quelque chose que les gens sentent très vite. Je suis vraiment habitée par ça et tant mieux !
La Normandie et moi
J’ai grandi à Val-de-Reuil – je suis née en région parisienne mais très tôt, mes premiers souvenirs d’école sont vraiment normands. J’ai passé mon bac là-bas et j’ai fait beaucoup de balades le long de l’Eure, en famille étant jeune. Après mon bac, je suis allée faire mes études à l’université de Rouen, en droit. Toujours pas très loin de la Seine et de ses affluents ! Et puis j’ai fait une petite infidélité d’un an pour aller faire ma dernière année d’études, un DESS à l’époque, en gestion sociale de l’environnement, à Albi. Après, je suis revenue travailler très vite en Normandie. Mes enfants sont nés ici, mon mari est un Normand : j’ai un véritable attachement au territoire.
J’aime particulièrement le panorama de Barneville-sur-Seine. On a une vue sur la Seine qui est très apaisante, profonde, c’est un endroit que j’aime beaucoup. J’aime aussi le secteur de Poses : en habitant à Val-de-Reuil, les balades à Poses, le long de l’eau, du côté du barrage, sont incontournables. C’est un endroit très chouette. Et puis ce serait trop compliqué de faire une liste, mais on a la chance d’avoir plein de lieux avec des concerts en Seine-Maritime et dans l’Eure. Du Tetris au 106, en passant par le Rive gauche, les centres culturels, les bars… Partout il y a de la musique qui se joue en live, et c’est une vraie chance.
Plus loin, je connais un peu la Manche parce qu’il y a des paysages en bord de mer qui sont juste wahou mais j’ai encore de belles découvertes à faire dans le Calvados, l’Orne ou la Manche.
Mon rôle d’ambassadeur
En tant que déléguée générale, je ne peux que conseiller à l’ensemble des ambassadeurs de Normandie, de l’être également de Rouen Seine Normande 2028. Tout le monde aux couleurs de la candidature pour en parler et gagner la finale ! C’est ça qui fait que c’est un projet collectif qui fait rêver et qui est enthousiasmant. Je m’adresse à vous, lecteurs : vous êtes ambassadeurs de cette Normandie, déjà très connue internationalement, et qui le sera d’autant plus avec cette nouvelle capitale européenne de la culture. Cela va ajouter au rayonnement de la région et cela ne peut que renforcer ce rôle d’ambassadeur que de porter cette candidature et ce qu’elle va apporter au territoire !