Je suis épanoui ici, c'est une très belle découverte et aussi un nouveau challenge !
Né à Nouméa et originaire de Nouvelle-Calédonie, Lucas, 27 ans, a choisi Rouen pour s’installer et effectuer ses stages professionnels : il est aujourd’hui directeur de greffe en formation à la cour d’appel de Rouen. Cavalier depuis son plus jeune âge, c’est tout naturellement qu’il a choisi la Normandie !
Quel a été le déclic ? Pourquoi cette région ?
Épris d’équitation depuis toujours, j’ai de nombreux amis cavaliers professionnels installés en Normandie, notamment dans le Calvados. Après avoir réussi le concours de directeur de greffe, j’ai choisi d’effectuer mes stages à Rouen.
Rouen représentait un choix stratégique. C’est une ville à taille humaine qui m’a semblé être un bon compromis entre la vie insulaire en Nouvelle-Calédonie et la métropole.
Sa proximité avec Paris (1h15 en train) et Deauville (50 minutes en voiture), où j’ai beaucoup d’amis, était aussi un atout majeur. Enfin, en tant que passionné d’équitation, la Normandie, terre de cheval par excellence, m’a tout particulièrement attiré.
Quelle image avais-tu du territoire avant ? Est-ce que tu avais des clichés ?
Le fameux cliché de la météo. Certes, il pleut parfois, mais j’ai été agréablement surpris par la douceur du climat.
Qu’est-ce que tu aimes en Normandie ?
J’adore la Normandie pour ses paysages verdoyants, ses grandes plaines et ses forêts.
À Rouen, j’apprécie la facilité à s’y repérer, le charme de ses maisons à colombages, ses nombreuses églises et l’impressionnant palais de justice où j’ai la chance de travailler.
Les quais de Seine sont très animés, et la ville offre de nombreux bars, restaurants et boutiques pour le shopping. Aux alentours, les forêts sont parfaites pour courir le week-end.
Côté équitation, la Normandie est un véritable paradis avec des compétitions prestigieuses comme le Normandie Horse Show à Saint-Lô, Equiseine au Parc Expo de Rouen, le Longines de Deauville ou encore le Jumping International de Canteleu.
Comment s’est passée ton intégration ?
J’ai eu la chance de rencontrer une bande de super copains ! Ils sont originaires de Rouen et m’ont fait découvrir la ville sous toutes ses facettes.
Qu’est-ce qui a été le plus difficile, compliqué ?
D’un point de vue logistique : la recherche d’un appartement à distance et le déménagement.
D’un point de vue personnel : le fait d’être loin de sa famille n’est pas toujours évident.
Est-ce que tu te sens Normand aujourd’hui ?
Pas encore tout à fait, mais je considère Rouen comme ma ville d’adoption. J’adore y vivre et j’espère y rester après ma formation en décrochant un poste.
Avec du recul, y a-t-il quelque chose qui aurait pu faciliter ton installation ?
Avoir des contacts locaux avant mon arrivée pour obtenir des conseils sur les quartiers où habiter, les bons restaurants et les incontournables à découvrir.
01
Ma première surprise
L’architecture
02
Le gros plus
Une ville vivante
03
Le petit moins
L’humidité
04
Des clichés à démonter
La pluie
05
Mes découvertes et coins insoupçonnés
La Côte Sainte-Catherine et son incroyable point de vue sur Rouen